Massacre de Musulmans au MYANMAR
Massacre de Musulmans au Myanmar ( Birmanie)
"OUR PRIME PURPOSE IN lIFE IS TO HELP OTHERS. AND IF YOU CAN'T HELP THEM , AT LEAST DON'T HURT THEM"
( DALAI LAMA).
A BUDDHIST DALAI LAMA SHOULD COME TO BURMA TO PREACH THIS WISE TO BUDDHIST THERE!
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IL NE FAUT PAS COMPRENDRE UNE OU L'AUTRE LANGUE, NOS YEUX SUFFISENT. NO COMMENT.
01/03/2016
04/04/2013
25/03/2013
05/03/2013
Et l'horreur continue en Birmanie aux yeux du monde.
Et personne ne fait rien.
( SHAME ON YOU)
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Sous un silence de tous les états du monde et que dire des différents gouvernements MUSULMANS, un massacre quotidien de personnes musulmanes innocentes est perpétré au MYANMAR ( Birmanie), le pays du PRIX NOBEL DE LA PAIX ET DES DROITS DE L'HOMME, Aung San Suu Kyi reçue en grande pompes dans plusieurs pays qui prônent la liberté la démocratie et le blablabla. Quand il s'agit de pays qui peuvent rapporter gros ( pétrole , or, etc etc etc et ceux qui menacent les intérêts israéliens) Les médias sont aux premières loges et chacun des gouvernants va de son speech afin de jouer au sauveur et au donneur de leçon. A tous ceux-là , nous lançons cet APPEL ( OU ETES VOUS DEPUIS TOUT CE TEMPS ? QUAND IL S'AGIT DE MUSULMANS VOUS ETES AUX ABONNES ABSENTS ? ) LISEZ CE QUI SUIT, REGARDEZ, VOUS SEREZ PRIS PEUT ETRE D'UN REMORS DE CONSCIENCE.
« Un hélicoptère Birman a ouvert le feu sur trois embarcations contenant environ 50 Musulmans Rohingya qui tentaient de fuir les violences sectaires que connait l’ouest Birman. L’attaque semble avoir tué tous ceux qui étaient à bord. » a rapporté Radio Free Europe, le 12 juillet dernier.
Mais quelles sont les raisons qui pousseraient des gens simples à courir de pareils risques mortels ? Les réfugiés voulaient tout simplement échapper aux mains de la majorité ethnique des Bouddhistes de Rakhine qui leur réservent le triste sort d’une mort immédiate, ou l’arrestation et la torture. Tout cela se passe sous le regard approbateur du gouvernement de Myanmar.
Quant à la couverture médiatique, il est important d’expliquer que l’intérêt relativement faible des médias par rapport aux « affrontements ethniques » au Myanmar n’est en aucun cas une indication sur l’ampleur de l’histoire et des faits. L’escalade de la violence est survenue suite au viol et à la mort d’une jeune femme Rhakine le 28 mai dernier et qui aurait été commis par trois hommes appartenant à la communauté des Rohingyas.
L’incident a marqué le début d’un rare mouvement collectif qui a uni plusieurs secteurs de la société au Myanmar, y compris le gouvernement, les forces de sécurité et les prétendus militants et groupes pro-démocratie.
Ainsi, la première chose de faite a été de battre à mort dix Musulmans innocents. Les victimes qui avaient été descendues d’un bus et attaquées par une foule de 300 individus bouddhistes de Rhakine n’étaient pas des Rohingyas, rapporte le Bangkok Post dans son édition du 22 juin. En effet, les Musulmans au Myanmar n’appartiennent pas tous au groupe ethnique des Rohingyas. Certains d’entre eux sont des descendants d’immigrants indous, d’autres sont d’ascendance chinoise et il y a même une catégorie aux origines arabes et persanes.
Et ces Musulmans du Myanmar ne représentent que 4% d’une population estimée à 60 millions.
Peu importe les chiffres lorsqu’on assiste à une vague généralisée de violence et d’abus alors que les auteurs, appartenant à différentes catégories sociales, ne risquent rien pour leurs actions et sont même soutenus par leurs gouvernements. Dans cette optique, et citant des groupes des droits de l’homme, Reuters a indiqué, en date du 4 juillet que « Les Rohingyas ...sont en proie aux pires formes de discrimination que le monde connaît. »
Les groupes et les individus pro-démocrates du Myanmar qui ont longuement été loués et félicités par les gouvernements occidentaux pour s’être opposés à la junte militaire du pays, sont les mêmes qui participent à la guerre contre les minorités. A ce titre, Hanna Hindstorm avait rapporté dans les colonnes du Sydney Morning Herald (dans son édition du 8 juillet), le tweet d’un des groupes pro-démocratie déclarant « les soi-disant Rohingyas sont des menteurs. » Un autre utilisateur des médias sociaux a déclaré : « Il faut tuer tous les kalar. » Kalar est un terme utilisé pour insulter la population à la peau foncée, issue du sous-continent indien.
Mais au-delà des simples « préoccupations » sur la violence à caractère ethnique, Aung San Suu Kyi veille à rester à l’écart - comme si le massacre « des Indiens de son pays à la peau sombre » n’était pas aussi urgent que d’obtenir une représentation parlementaire de son parti, la Ligue nationale pour la démocratie en Birmanie (Myanmar).
Le Secrétaire général de l’Organisation de la Coopération islamique (OCI), Ekmeleddin Ihsanoglu a appelé « la Dame » pour qu’elle fasse quelque chose, n’importe quoi... « En tant que lauréate du prix Nobel de la paix, nous sommes confiants que la première étape de votre voyage en vue d’assurer la paix dans le monde partira de votre propre porte et que vous jouerez un rôle positif pour mettre un terme à la violence qui a frappé l’État d’Arakan, » écrivait-il. Toutefois, « la Ligue nationale de Aung San Suu Kyi pour la démocratie continue de bien éviter ce problème brûlant », selon la revue Foreign Policy.
Les violentes attaques contre les minorités birmanes sont arrivées à un moment intéressant pour les États-Unis et la Grande-Bretagne. Leur campagne pro-démocratie a été tout de suite mise en veilleuse lorsque la junte a accepté d’appliquer des réformes semi-démocratiques. Désireux de contester la quasi-exclusive influence de la Chine sur l’économie du Myanmar, les entreprises occidentales ont sauté dans le pays, comme si l’un des régimes les plus oppressifs du monde était soudainement devenu une oasis pour la démocratie.
Commentaires (5)
- 1. | 30/09/2015
- 2. | 16/11/2013
Les états malvoyants où l'islamisme fasciste est très ancré sont en train d'essayer vainement de l'éradiquer. Mais l'état birman, soucieux de ne pas vivre la même expérience que celle des états susmentionnés, veut avoir une longueur d'avance; i.e. ne pas laisser l'islamisme se semer et s'enraciner sur son territoire.
Je crois fort que si l'islamisme n'existait pas et que tous les musulmans ouvraient pacifiquement et intelligemment pour la propagation de l'islam, personne au monde ne réagirait contre les musulmans aussi violemment. D'où la nécessité de pointer son doigt sur les vrais criminels plutôt que sur ceux qui ont agit par peur ou par souci de devenir victimes par la suite.
- 3. | 30/07/2013
- 4. | 09/06/2013
- 5. | 09/06/2013