TIPASA/HADJOUT: l'article apparu en date du 06/06/2010 en page 4 du quotidien l'Authentique sous le titre
UN CITOYEN DANS LE DESARROI
15/04/2012
Seul contre l’administration et la Justice Algérienne…by Kamel |
Seul contre l’administration
Suite à un entretien avec le député Mr Khendek Mohamed, nous avons pris connaissance du dossier de ce citoyen pour lequel ce député se bat pour le rétablir dans ses droits à travers un rapport minutieusement établi, adressé au premier ministre. Il s’agit d’un bien appartenant à Mr Sahraoui Tahar Kamel, situé en plein centre de la ville de Hadjout. Une villa qui appartient à la famille depuis l’indépendance, il n’a jamais été mis en question, ni remis en cause l’appartenance de cette propriété, durant toutes ces années, comme l’indiquent les différentes pièces et documents en possession de Mr Sahraoui.
Or depuis l’année 2009, ce citoyen se trouve malgré lui, embarqué dans une guerre judiciaire contre les autorités pour défendre sa cause et préserver ce bien qui, du jour au lendemain, s’est transformé en propriété de l’état et de surcroit a pris l’appellation de « annexe de la daïra ». Comment cela a-t-il pu arriver ? C’est ce qu’a tenté de nous expliquer Mr Sahraoui. Il apparait clairement à travers les documents produits par Mr Sahraoui Tahar Kamel, en l’occurrence les nombreux quitus de payement de la taxe foncière, l’extrait de la matrice cadastrale et le certificat négatif remis par la conservation foncière de Tipasa, que Mr Sahraoui est reconnu comme étant le propriétaire apparent de la villa qu’il occupe. Or, au vu de ces éléments et suite à l’enregistrement de ce bien au nom de Mr Sahraoui,
A.Amzal
HADJOUT (TIPAZA)
UN CITOYEN WLID EL BLED AU DESARROI
Kamel Ali Sahraoui- Tahar, un habitant de la ville de Hadjout, dans la wilaya de Tipaza, est, depuis quelques mois, dans une situation que peu de personnes lui envieraient. Qui voudrait, en effet, être à la place de quelqu'un qui risque de perdre son logement ; une villa, datant de la période coloniale, bâtie sur une superficie d'un peu plus de 700 m_ qui a la particularité d'être mitoyenne de la résidence du chef de la daïra de Hadjout. Et c'est, semble-t-il, ce voisinage qui est la source de tous les problèmes qu'il vit depuis quelques mois. Selon le document que Mohamed Khendek, député RCD de la wilaya de Tipaza, a adressé, dernièrement, au premier ministre à propos, précisément, de cette peu enviable situation dans laquelle se trouve ce citoyen, « tout a commencé, en effet, après que l'administration eut clairement affiché sa volonté d'accaparer ce bien pour en faire...une annexe de la daïra de Hadjout...»
Une volonté d'autant plus surprenante pour le concerné, contacté après avoir pris connaissance du contenu du document précité, que sa famille, a-t-il déclaré, «occupe les lieux depuis...1963 ». Non sans ajouter qu'elle « l'a toujours fait de la manière la plus légale qui soit». Ce qui est attesté, selon nos deux sources, par le paiement régulier de la taxe foncière ; un paiement confirmé, d'ailleurs, par les documents délivrés par les services de l'administration fiscale territorialement compétente qui nous ont été présentés. Et à propos de documents officiels attestant que la famille Sahraoui-Tahar est propriétaire apparent du bien revendiqué par l'administration, le député Mohamed Khendek a cité l'extrait de la matrice cadastrale délivré par l'antenne de Tipaza de l'Agence nationale du cadastre et le certificat négatif délivré par la conservation foncière de la wilaya dans lesquels il est clairement mentionné que «le bien en question a été cadastré au nom de Amel Ali Sahraoui-Tahar (et ce,) en sa qualité de propriétaire apparent ». Cela a eu lieu, a-t-il précisé, « lors de l'opération de cadastre de la ville de Hadjout qui a eu lieu, dans le courant de l'année 2008, en application de l'Ordonnance 75-74 du 12 novembre 1975 et du décret 76- 62 du 25 mars 1976 (les deux) relatifs à l'institution du livre foncier ».Toutefois, cette immatriculation a entraîné l'opposition de la direction des Domaines de la wilaya de Tipaza. Au prétexte que le bien en question était propriété de l'État, elle a, en effet, demandé l'annulation de ladite immatriculation - selon l'extrait de la matrice cadastrale qui lui a été délivré à sa demande, le 7 septembre 2009, Sahraoui-Tahar y est inscrit sous le compte n° 1669; section 44 ; îlot 70 - et son inscription au nom des Domaines de l'État ; des demandes qu'elle a motivées par les dispositions de l'Ordonnance 66-102 du 06/05/1966 portant transfert aux Domaines de l'État des biens considérés comme vacants. Des dispositions qui, pour Sahraoui- Tahar, ne peuvent aucunement s'appliquer à son cas. Et ce, nous a-t-il dit, « pour plusieurs raisons allant toutes dans le sens de la confirmation de la nonappartenance aux domaines de l'État de (sa) villa »: Outre le paiement, précité et attesté par des documents officiels, de la taxe foncière, il nous a remis un document, référencé n° 471/OPGI/AH//KA/ME/94, transmis le 24 mai 1994, à sa demande, au président de l'APC de Hadjout d'alors, par le chef de l'antenne locale de l'OPGI, dans lequel il est clairement mentionné que « le logement et ses dépendances (jardin) ne figurent pas dans (le) patrimoine (de l'OPGI)» et qu'il « s'agit d'un bien privé». Dans un souci de clarté, notre interlocuteur explique que la démarche entreprise par le maire « s'inscrivait en droite ligne de l'application des dispositions du décret exécutif n° 93-290 du 28/11/1993 portant transfert de la propriété des biens immobiliers considérés comme vacants au regard des dispositions de l'Ordonnance 66-102 du 06/05/1966, aux Offices de promotion et de gestion immobilières ». Plus explicite, il déclare que « si la villa que (sa) famille occupe depuis 1963 était un bien vacant, elle aurait figuré dans le patrimoine de l'OPGI.» Et à ce propos, celui du caractère supposé vacant de son bien, Sahraoui-Tahar a tenu à préciser qu'aucun document officiel n'existe l'attestant. Et ce, comme l'exige la réglementation en vigueur ; particulièrement, « le décret n° 63-88 du 18 mars 1963 portant réglementation des biens vacants » qui précise, déclare-t-il, « qu'un bien n'est déclaré officiellement vacant qu'après la promulgation par le wali (à l'époque, c'était le préfet) de deux arrêtés : le premier constatant sa vacance effective et le second, décidant de son transfert aux domaines de l'Etat... ». C'est au regard de tout cela que notre interlocuteur déclare « ne pas comprendre, après presque un demi-siècle de silence, les raisons du soudain intérêt accordé par l'administration à son bien ». Selon le document transmis par le député au Premier ministre, ledit intérêt a pris la forme, dans un premier temps, comme indiqué plus haut, d'une opposition à l'immatriculation, sur le registre cadastral de la ville de Hadjout, du bien en question au nom de Sahraoui-Tahar. Et, dans un second, qui est intervenu après l'établissement, le 18 août 2008, par la conservation foncière de Tipaza, d'un PV de non-conciliation entre les deux parties, d'une saisine de la justice par la direction des Domaines de la wilaya de Tipaza. Des procédures qui, indépendamment de ce qui a été dit précédemment sur la prétendue vacance du bien de Sahraoui-Tahar, sont, comme l'ont reconnu ce dernier et le député, « tout à fait réglementaires ». Sauf que, ont-ils regretté, l'un, dans les déclarations faites et l'autre, dans l'écrit qu'il a transmis au Premier ministre, « ce qui a suivi ne l'a pas été... ». Alors qu'elle devait attendre la conclusion de l'action en justice qu'elle avait elle-même initiée, la partie plaignante, en clair la direction des Domaines de la wilaya de Tipaza, a, toujours selon nos deux sources, proposé au wali de Tipaza « de mettre à la disposition de (...) la wilaya, l'édifice en question pour en faire une annexe de la daïra de Hadjout ». Une proposition qui a reçue une suite favorable le 23 juin 2009, soit le lendemain de l'arrêt rendu le 22 juin 2009 par la Chambre administrative de la Cour de Blida, déboutant ladite direction et ce, au motif que l'action qu'elle a intentée l'a été hors des délais - à titre indicatif, de six mois à compter de la date d'établissement du PV de non-conciliation - impartis légalement à une telle procédure: Sur la base d'une correspondance, portant le n° 5 657, du directeur des Domaines de l'État de la wilaya de Tipaza, datée du 21 juin 2009, le wali de Tipaza publie un arrêté, référencé n° 1119/ , par lequel il décide de cette mise à disposition. Et c'est, selon le document du député Khendek, cet arrêté qui va servir de base à ladite direction pour introduire un recours auprès de la Chambre administrative de la Cour de Justice de Blida, à l'effet d'obtenir l'annulation de l'arrêt rendu le 22 juin 2009 qui l'avait débouté. Et ce, y est-il précisé, « malgré que ce dernier ait entre-temps acquis, du fait de la non-introduction du recours précité dans les délais réglementaires, autorité de la chose jugée »; une acquisition qui découle de la remise à Sahraoui-Tahar de deux certificats de non-appel : le premier, délivré par la Cour de Blida et le second, par le Conseil d'État. Ce qui, normalement, a souligné Khendek dans son document, « aurait dû inciter la conservation foncière de la wilaya de Tipasa à remettre, conformément à la législation relative à l'institution du livre foncier, à celui-ci, son livret foncier ». Chose que cette dernière administration a, selon le concerné, refusé de faire au prétexte «de l'existence de problèmes concernant la villa qu'il occupe... » Parce qu'il faut savoir que le 30 août 2009, le wali de Tipaza a engagé, auprès de la Chambre administrative de la Cour de Blida, une action en justice en référé visant à obtenir l'expulsion de la personne qui, sur la base d'une procuration notariée qui lui a été établie par Sahraoui-Tahar, assurait, depuis un peu plus d'une année, le gardiennage des lieux. Et ce, après le refus de ladite personne de répondre aux injonctions verbales du chef de la daïra de Hadjout qui l'avait convoquée dans son bureau, de le faire. Il faut préciser à ce propos que, depuis le début des années 2000, Sahraoui-Tahar, pour des raisons professionnelles, réside en France. Suite à cette évolution de la situation, «pour le moins inattendue pour lui », ditt- il, Sahraoui-Tahar rentre en urgence au pays pour plaider sa cause. Il saisit, à cet effet, la même juridiction administrative susmentionnée à deux reprises : une première fois, pour introduire un recours contre l'action en référé du wali et une deuxième, pour obtenir l'annulation de l'arrêté, cité ci-dessus, de la même autorité. Si dans un premier temps, soit en date du 12 octobre 2009, la juridiction saisie se déclare incompétente en ce qui concerne l'action du wali visant à l'expulsion de la personne assurant le gardiennage de sa villa, par la suite, elle rend, coup sur coup, deux arrêts : le premier, en date du 15 mars 2010 et faisant suite à sa saisine par la direction des Domaines de l'État de la wilaya de Tipaza, qui « annule l'immatriculation de la villa au nom de Sahraoui- Tahar et autorise son immatriculation au nom de l'État » ; et le second, «déclarant non-fondée la demande d'annulation de l'arrêté n° 1119/ du wali, pris le 23 juin 2009 » ; ce deuxième arrêt, au motif, y est-il précisé, que « le bien visé est, au regard de l'Ordonnance n°106666 du 6 mai 1966, considéré comme vacant ». Malgré cela, Sahraoui- Tahar ne perd nullement confiance en la justice. Convaincu que dans toute cette affaire, la législation a été, à maintes reprises, mise à mal, il a, en effet, introduit des recours auprès du Conseil d'État à l'effet d'obtenir l'annulation et des deux derniers arrêts précités et de celui par lequel la Chambre administrative de la Cour de Blida s'est déclarée incompétente dans l'action engagée par le wali de Tipaza visant à l'expulsion de la personne qui assurait le gardiennage de sa villa. Et à propos de «mise à mal» de la législation, le député Khendek l'a clairement suggéré dans sa lettre quand il a écrit que «toutes ces démarches visant à spolier un citoyen de son bien, nous poussent à croire qu'elles ont pour objectif de faire passer (ce bien) sous la coupe des détenteurs du pouvoir et de la puissance... ». Silence radio de l'administration Pour avoir l'avis de l'administration sur cette affaire et sur tous les développements qu'elle ne cesse de connaître, nous avons, dans un premier temps, tenté de prendre contact avec le chef de la daïra de Hadjout. Malheureusement, nous n'avons pas pu le faire. Absent de son bureau lors de notre passage, il nous a fait dire par sa secrétaire, qu'il l'avait joint par téléphone pour l'avertir de notre présence et l'informer de l'objet de celle-ci, de nous adresser au Drag et au directeur des Domaines de l'État, de la wilaya. C'est ce que nous avons fait, le lendemain. Pour nous entendre répondre, par le premier, que « l'affaire ne relevait pas de ses prérogatives», et par le second, qu'il «n'était pas habilité à nous répondre» ; et ce, non sans ajouter, au prétexte que c'était l'usage en matière de relation avec la presse, que « si nous avions des questions à poser, il fallait commencer par les déposer au niveau de la cellule de la Communication de la wilaya et, puis, d'attendre les réponses... ».
Mourad Bendris
Commentaires (46)
- 1. | 02/12/2013
- 2. | 25/03/2013
- 3. | 24/03/2013
- 4. | 23/03/2013
- 5. | 23/03/2013
- 6. | 30/08/2012
à la lecture de votre commentaire en très grande partie relate la vérité, je me pose naturellement cette question: de qui ???
Vous suivez certainement ce qui est dit et fait sur cette affaire laquelle avec la grâce de notre Dieu je ressents une marque de solidarité qui me va droit au coeur.
Effectivement tout ce qui brille n'est pas "OR", parfois ou suivant les cas souvent nous sommes victime d'excès de confiance (famille oblige), ne dit-on pas wine damek, wine hamek ? je sais les doigts des mains ne se ressemblent pas, les individus de même.
Mais être trahis par celui à qui je lui ai transmis "el amana", fût-il un proche est un acte grave, très grave envers notre Dieu et envers les humains !
La personne incriminée n'a aucune conscience des retombées qu'auront à subir ses proches, lesquels je voue un profond respect, que ces derniers sachent qu'un honneur trahi n'affecte que celui qui en doit subir les conséquences.
Mâamar AMEURI puisque c'est lui dont il s'agit était considéré comme un frère qui à l'âge de sa retraite souhaitait "un abrit" que je lui avait confié gracieusement en échange d'un prêt que j'avais effectivement remboursé. Mais ce dernier preuve à l'appui a usé effectivement des subterfuges en vue de s'accaparrer d'un bien qui lui avait été transmis en bon et dû forme à titre de el amana (Gardiennage).../...
Le fait de connaître des ripoux ne changeront en rien les comportements, lui son fils et son beau père qui prétendent être cadre de notre nation, de même ceux qui infuent négativement le courant normal de la justice ne sauront échapper à la manifestation de la vérité !!!
En tout cas mon cher concitoyen votre lettre ouverte me va droit au coeur ne serais-ce qu'un début d'éclat de la vérité !
ENCORE UNE FOIS MERCI
- 7. | 28/08/2012
Voilà, depuis un bon bout de temps, j'entends qu'une personne, assistée de son beau frère et de son fils, tous deux cadres de l'Etat, veut s'accaparer d'un bien immobilier de sa propre famille.
Des subterfuges sont utilisés.
Je dirais à cette personne mal intentionnée que depuis que je suis né, j'ai toujours su que ce bien était occupé par Tonton Malek (Allah y rahmou), puis après son décès par Tata Djenat, puis par son fils unique Kamel.
De grâce, laissons Kamel tranquille.
Il devait donc laisser son bien à quelqu'un. Son dévolu s'est porté sur son voisin, en l'occurrence C.M.
Son cousin, ayant appris la nouvelle, est allé le voir en lui expliquant qu'il avait pris sa retraite de la gendarmerie et que sa sécurité ainsi que celle de sa famille pourrait être menacée là où il habitait et demandé à ce qu'il mette à sa disposition cette villa coloniale le temps que les conditions sécuritaires s'améliorent.
C'est ce qui a été fait. Famille oblige. Pour rendre plus administrative cette procédure, un acte authentique a été établie avec précision du délai et de la fonction du nouvel occupant (gardien).
A cette période, Kamel était dans une situation financière critique. Il n'avait pas d'argent. Il avait sollicité de son cousin germain un prêt de 80.000 DA ( 8 millions de centimes), dépense nécessaire pour son voyage à l'étranger. Ce cousin germain lui avait exigé une attestation légalisée à concurrence de ce montant.
J'entends qu'une importante somme a été remise en France à Kamel (équivalence de 7 000 000 DA) à titre d'avance pour l'achat de ce bien.
Vraiment, je ne comprends rien.
Alors, comment expliquer que pour un montant de 80 000 DA (8 millions de centimes) on établit une pièce justificative et pour 7 000 000 DA ( 700 millions de centimes) aucun document n'est rédigé ?
Comment cette personne s'est-elle procurée ces devises ?
Laissons Kamel vivre sa vie. Il a trop souffert dans sa jeunesse. Ce bien est à lui, il lui appartient de droit.
Aller aux lieux saints de l'Islam et garder une barbe n'amèneront jamais au Paradis. Ce sont les actes qui justifient la moralité.
Revenons à la raison.
L'administration doit en droit appliquer la loi. L'oppression engendre l'oppression. On oublie vite. Regardons ce qui s'est passé dernièrement chez nous et chez nos pays voisins. Les jeunes ne se sont pas soulevés comme ça. C'est l'absence de neutralité de l'administration.
Evitons un autre 5 octobre, un autre bain de sang, un autre deuil. Notre pays est trop beau. Beaucoup de pays nous envient et essaient par tous les moyens de soulever la population contre ses dirigeants. Les rapports des institutions spécialisées nous classent parmi les plus mauvais élèves en matière de corruption. Et quand on dit << corruption >> on dit << hogra >>.
Messieurs les responsables. Je vous en conjure. J'aime comme tous ces jeunes mon pays. Lorsque je vois le drapeau flotter dans des situations particulières, je vous assure que je pleure à chaque fois.
Je veux pleurer de joie.
Je ne veux pas voir mon pays se détruire.
- 8. | 11/06/2012
- 9. | 02/06/2012
- 10. | 01/06/2012
je me souviens à l'époque que toi et Maamar vous étiez les inséparables et aujourd'hui pour un oui et un non (Oumour Edennia vous etes en arrivé là c'est triste et combien meme inconcevable.il est temps de vous ressaisir car nul n'est immortel.penser à votre jeunesse de jadis et ne laisser pas autrui se moquer de vous .car s'est le sort de deux grande famille qui est entrain de se détérioré.
Salutation et Rabie yahdina wa yahdikoum.
- 11. | 21/04/2012
Je te remercie de ton fort soutien, tout comme je remercie notre frère Kouider d'avoir médiatiser à travers le web cette affaire, il est tout à fait clair que ceux qui commettent de graves injustices envers autrui ne pourront être libéré ni de leur conscience, ni du jugement dernier qui à nos yeux est infaillible, dans tout les cas de figure ils ne pourront pas échappé ici bas, ni dans l'au delà et seront rattrapé par la loi dicté par notre créateur....Allusion faite à ceux qui ont "grillé les os" aussi à ceux qui sont censé être aux services publiques
@ Terrain
Tout à fait pourquoi ces traites ont choisi la période de mon exil 02/2001 pour "exproprier" un bien sous le prétexte que je suis établis en France depuis les années 1960.... wine damek wine hamek (vieux dicton tââna) voilà un service rendu pour celui qui "craignait" le "terrorisme", méthode d'un ancien chef de brigade de gendarmerie en retraite de sur croit un cousin nommé Ameuri Mââmar et son fils Ryad chef de service duch au niveau de la wilaya de Tipasa appuyé par Amrane Ahmed secrétaire du gueux Berrouitta et de Rouab M'hamed beau-père de Ryad Ameuri, voilà par qui cette affaire a pris des dimensions de faux et usage de faux, de trafics d'influence laquelle Berouitta chef de la daïra et Rouab m'hamed avec la complicité d'un haut magistrat de la cour de Blida (connu dans une affaire scandaleuse) ont mis la justice à genoux !!! que ces gueux le veuillent ou non,...le dernier mot reviendra à la justice qui sera rendu réellement au nom du peuple pas au nom de ces ripoux !!!
MERCI A TOUT CEUX ET CELLES QUI ONT MANIFESTE CONCRETEMENT LEUR SOUTIEN QUE NOTRE DIEU LES RECOMPENSE !!!!!
- 12. | 16/04/2012
Allah dit: «Quant à ceux qui ripostent après avoir été lésés,…ceux-là pas de voie (recours légal) contre eux. Il n’y a de voie (de recours) que contre ceux qui lèsent des gens et commettent des abus, contrairement au droit, sur la terre : ceux-là auront un châtiment douloureux.» (sourate 42/ verset 41, 42)
- 13. | 20/03/2012
- 14. | 24/01/2012
Il faudrait savoir que l’entretien des écoles notamment primaire situées sur le territoire de la ville de HADJOUT sont à la charge exclusive de l’assemblée populaire et communale de notre ville, malheureusement cette dernière semble être soumise aux ordres d’une personnalité loin des préoccupations réelles et des biens publics et de la population.
La réalité amère est sous nos yeux, le patrimoine dont la nature juridique est communale est lamentablement et totalement délaissé outre l’école BEN BADIS, l’école primaire MOULOUD FERAOUN (ex-maternelle) etc….,
Il y a aussi l’ancien tribunal qui menace ruine, oui ce bien est un patrimoine communale !!!!
la toiture de l’ancien cinéma “LE CHENOUA” ex CAPITOLE risque de chuter, etc..etc…
On parle de rapport technique émis par un bureau d’étude (???), ce dernier a t-il été saisi d’établir un contrôle technique des sites publics appartenant à notre commune ????
Notre ville dans sa globalité dirigée par une seule et unique personne est très mal gérée, elle se nomme sous un nom familier (Berrouitta).
Ce gueux avait dit: HADJOUT ne renferme pas d’homme ! sa population s’est-elle résigné ???
Où sont “les élus” de notre ville et de notre circonscription électorale ???
Où sont ceux et celles qui disent nous sommes ouled el bled ???
Ceux qui gèrent Malencontreusement et malmène notre ville il y a des moyens légaux de les mettre “au placard” et c’est aux HADJOUTIS de prendre en main le destin de notre ville !!!
- 15. | 17/04/2011
- 16. | 16/04/2011
Un responsable technique de la ville de HADJOUT, KARAFA Mâamar en l'occurence, par ailleurs propriétaire d'une salle de fête située rue Kabli Smail s'est permis l'empiètement d'un terrain appartenant à l'état pour effectuer des traveaux lui permettant l'extention de sa salle des fêtes, avec les faveurs de ZIDOUR Abdelkader responsable d'un service au niveau de la daïra de HADJOUT et d'un agent des services domaniales qui usent le decret 15/08 aux fins de satisfaire "l'usurpateur" qui ne possède ni livret foncier, ni l'extrait matrice cadastrale. La procédure a été facilité par un chef de service de la DUCH de la Wilaya de TIPASA en l'occurence AMEURI Ryadh ,...Tout ce "beau monde" tente de malmener l'actuel Président de l'APC de HADJOUT aux fins de s'accaparer illégalement d'un terrain partie nord du douar Si Lyès où vivaient de nombreuses familles Hadjoutis délogées de ces lieux.
- 17. | 06/09/2010
- 18. | 28/08/2010
- 19. | 04/07/2010
BRAVO A TOI MON AMI ET FRERE ABDELHAK ET MERCI AUX AMIS (IES) QUI ONT MANIFESTES LEUR SOUTIEN...MERCI A TOI MON FRERE KOUIDER
- 20. | 01/07/2010